http://www.rtd.dj/index.php?option=com_content&view=article&id=176:sensibilisation-sur-limportance-de-la-zakat-aux-parlementaires&catid=39:politics&Itemid=118
Radio Télévision Djibouti (RTD)
Initiation des parlementaires sur la Zakat
Le vice président du conseil d’administration a présidé aujourd’hui un atelier sur le renforcement de la zakat au centre Kulan à Djibouti. Cet atelier a réuni outre le vice président de l’assemblée nationale Ali Dini Aboubaker et le directeur Diwan al zakat Omar Ismaël Igal des nombreux parlementaires qui ont suivi avec beaucoup d’intérêt cette formation sur l’importance de la Zakat. Cet atelier de formation est animé par des experts internationaux venus du Maroc et de l’Algérie sur la zakat.
La zakat est le 3eme pilier de l’islam et notre religion nous recommande de l’octroyer aux personnes les plus nécessiteuses.
Dans une brève intervention, le vice président du conseil d’administration de la fondation Diwan al zakat a rappelé que le président de la République a créée la fondation pour aider la population les plus démunies, les orphelins, les handicapés de Djibouti. En s’adressant aux parlementaires, il a rappelé que notre société est toujours caractérisée par la pratique active de l’entraide sociale et une assistance permanente en faveurs de ses citoyens les plus vulnérables. C’est pourquoi a-t-il dit il faudrait sensibiliser au maximum pour que chacun d’entre nous puissent répondre à ce devoir qui est à la fois un précepte religieux mais également un acte citoyen.
http://www.adi.dj/
24/05/2010 - Ouverture d’un séminaire sur le renforcement de la zakat à Djibouti
La Fondation Diwan Az-Zakat a procédé aujourd’hui au lancement, au centre de conférence Kulan, d’un atelier consacré essentiellement au renforcement de la zakat en République de Djibouti. La cérémonie inaugurale de ce séminaire a regroupé, outre le directeur général de la Fondation Diwan Az-Zakat, M. Omar Ismaël Egueh, le secrétaire général de la présidence, M. Ismaël Houssein Tani, le directeur de cabinet du Président de la République, M. Abdi Elmi Achkir, et de nombreux parlementaires.
Les travaux de ce séminaire, qui s’étaleront sur cinq jours, seront l’occasion de dégager des solutions pouvant mieux orienter nos décideurs en matière d’aide aux orphelins. Cette rencontre permettra notamment aux participants de se pencher sur des sujets ayant trait à la Zakat, ses fondements, ses aspects juridiques, mais aussi ses objectifs, son impact économique, ainsi que son rôle dans le cadre de la lutte contre la pauvreté à Djibouti. Plusieurs autres points portant entre autres sur les aspects pratiques institutionnels et organisationnels de la Zakat sont aussi inscrits à l’ordre du jour de cet atelier. Pour ce faire, les séminaristes vont suivre deux présentations sur "l’aperçu des efforts d’institutionnalisation de la zakat" axées respectivement sur les modèles djiboutien et algérien.
"Comment repenser ou réinventer la solidarité à Djibouti", telles sont, grosso modo, les questions autour desquelles évolueront les débats de cette réunion. Pour la Fondation Diwan Az-Zakat, le parrainage des enfants orphelins reste déjà une idée généreuse qui mérite un réel approfondissement du moment qu’elle constitue un alternative à l’adoption qui suppose une rupture des liens de l’enfant adopté avec sa famille. Notons enfin que cet atelier sera clôturé vendredi prochain par une cérémonie de remise de diplômes aux participants.
N° 90 du Mardi 25 Mai 2010
Zakat : Réinventer la solidarité
La Fondation Diwan Az-Zakat a procédé hier au lancement d’un atelier sur le renforcement de la zakat en République de Djibouti au centre de conférence Kulan. La cérémonie inaugurale de ce séminaire a regroupé diverses personnalités publiques. Citons le directeur général de la Fondation Diwan Az-Zakat, M. Omar Ismaël Egueh, le secrétaire général de la Présidence de la République, M. Ismaël Houssein Tani, le directeur de cabinet du Président de la République, M. Abdi Elmi Achkir, et de nombreux parlementaires. Notons que le vice président de la fondation Diwan Az Zakat, Ismail Houssein Tani, le vice président de l’Assemblée Nationale, Ali Dini Aboubaker, et le représentant de la Banque Islamique se sont succédés au micro de la tribune officielle pour prononcer des discours lors de la cérémonie d’ouverture du séminaire.
D’abord, le vice président de la fondation Diwan Az Zakat a mis en exergue une réalité locale. Que de nombreux djiboutiens délaissaient ces dernières années la zakat qui demeure un précepte religieux et un acte citoyen. Ensuite, le représentant de la Banque Islamique a évoqué la méconnaissance des masses laborieuses quant aux potentialités de la zakat dans la lutte contre la pauvreté. Autrement dit, le financier a souligné l’efficacité de la zakat au service du développement économique. Enfin, le vice président du parlement a rappelé combien la zakat était une valeur centrale dans nos traditions et dans nos mœurs que l’urbanisation galopante tend à faire disparaître.
Le délaissement de cet acte de charité et de générosité précipité les populations vulnérables dans la détresse sociale et une pauvreté extrême selon le parlementaire Ali Dini Aboubaker. D’ailleurs, le motif constitue la raison d’être de ce séminaire de cinq jours. Ses travaux, censés se poursuivre jusqu’au vendredi 28 mai au centre Kulan, seront l’occasion pour les participants de dégager des solutions susceptibles d’orienter la prise de décision des autorités politiques en faveur de l’aide aux orphelins.
Au cours de leurs débats, les intervenants vont également aborder les fondements et aspects juridiques, les objectifs et l’impact économique de la zakat dans le cadre de la lutte contre la pauvreté à Djibouti. Plusieurs autres points comme les pratiques institutionnelles et organisationnelles de la Zakat sont inscrits à l’ordre du jour de cette importante rencontre. Pour ce faire, les séminaristes vont suivre deux présentations sur "l’aperçu des efforts d’institutionnalisation de la zakat" axées respectivement sur les modèles djiboutien et algérien.
"Comment repenser ou réinventer la solidarité à Djibouti" ; telle est la question centrale autour de laquelle vont s’articuler les débats des participants du séminaire de cinq jours sur la zakat. Pour la Fondation Diwan Az-Zakat, le parrainage des enfants orphelins demeure en soi une idée généreuse qui mérite un réel approfondissement. Puisqu’elle constitue une alternative au choix de l’adoption qui suppose une rupture des liens de l’enfant adopté avec sa famille.
N° 91 du Mercredi 26 Mai 2010
Zakat : Mode d’emploi
Inauguré lundi dernier, l’atelier sur le renforcement de la Zakat en République de Djibouti dispensé aux parlementaires djiboutiens se poursuit encore au centre de conférence Kulan center. Organisé par la fondation Diwan Az-Zakat en collaboration avec l’institut islamique de recherche et de formation, ce séminaire animé par des experts en économie islamique s’inscrit dans le cadre de la sensibilisation et de la mobilisation de la population sur l’importance à la zakat et le rôle primordial qu’il est appelé à assumer dans la lutte contre la pauvreté. Les parlementaires djiboutiens sont donc les mieux placés pour des plaidoyers en faveur de la zakat mais peuvent aussi par leurs poids orienter la prise de décision. Ce séminaire qui prendra fin vendredi prochain a permis aux députés de l’Assemblée nationale de pouvoir assister à des exposés consacrés à l’impact positif socio- économique de la zakat, son rôle multiplicateur et accélérateur de l’investissement ainsi que les objectifs de la zakat et de ses aspects juridiques.
De ces débats animés et productifs qui ont eu lieu, se dégage donc une reconnaissance et une sorte de plaidoyer de l’économie islamique dont la zakat, étant un impôt spécifique aux pauvres et aux nécessiteux agissant pour ces derniers comme une discrimination positive mais qui, par ailleurs favorise l’investissement ainsi que la consommation sociale des biens de base et donc la production des biens. HAD
Réactions
Houssein Omar Kawalieh,
2e vice- président de l’Assemblée nationale
« C’est un atelier important et bénéfique. En tant que parlementaire, je suis très heureux de participer à cet atelier qui poursuit la politique du Président de la République».
Aicha Mohamed Robleh, parlementaire
« C’est un atelier très enrichissant. Nous avions une notion de la zakat pas très développée. Il nous a donc permis d’approfondir nos connaissances grâce à des exposés traduits en français».
Aicha Dabar, parlementaire
« Cet atelier nous a éclairé sur la zakat, ses objectifs, son mode de paiement. En tant que parlementaire, les tenants et les aboutissants vont nous aider à faire des plaidoyers et à mettre en place une législation. Je remercie Diwan Az-Zakat d’avoir organisé cet atelier. »
N° 93 du Dimanche 30 Mai 2010
Atelier sur le renforcement de la Zakat : Clôture des débats
Inauguré lundi dernier, l’atelier sur le renforcement de la Zakat en République de Djibouti dispensé aux parlementaires djiboutiens a clôturé ses travaux vendredi dernier à la salle de conférence de Kulan Center.
Organisé par la fondation Diwan Az-Zakat en collaboration avec l’institut islamique de recherche et de formation, ce séminaire animé par des experts en économie islamique s’inscrit dans le cadre de la sensibilisation et de la mobilisation de la population sur l’importance à la zakat et son rôle primordial dans la lutte contre la pauvreté. Dans cette optique, l’implication des parlementaires djiboutiens s’est avérée nécessaire. Un choix juste, car les parlementaires seront amenés à engager des actions de plaidoyer en faveur de la zakat mais pourront aussi user de leur statut pour orienter la prise de décision.
Cinq jours durant, les participants ont suivi des exposés consacrés à l’impact positif socio- économique de la zakat, son rôle multiplicateur et accélérateur de l’investissement ainsi que les objectifs de la zakat et de ses aspects juridiques. Un objectif qui semble être atteint au terme des débats et des échanges de cet atelier de cinq jours. Les parlementaires se sont accordés sur l’importance de premier plan que peut jouer la Zakat et son impact positif pour ses bénéficiaires. La zakat, quatrième pilier de l’Islam est une obligation religieuse qui incombe à chaque musulman. Outre son caractère purificateur, c’est un impôt spécifique destiné à assister les plus nécessiteux. Un geste de solidarité envers nos pauvres. AAS